Paperboy Issue 8
Salut mes petites beautés ! Heureux de vous voir. Comment ça va ? Ici à PAPERBOY, nous ne nous intéressons pas aux stéréotypes nationaux grossiers. Nous sommes au-dessus de tout ça. Et vous aussi. Mais vous avez peut-être deviné d’après notre jolie couverture en tartan que PAPERBOY est fier de vous présenter son premier (et avec un peu de chance dernier) numéro écossais.
Dans le numéro écossais, donc : de la bonne bouffe, de beaux vêtements et un langage absolument génial. Savez-vous que les hommes les plus forts du monde sont écossais ? Ce n’est pas une opinion. C’est un fait attesté. Miranda Collinge (pas écossaise, mais super nana) les rencontre. Nous entendons aussi le meilleur chef du monde, Jeremy Lee (définitivement écossais), parler de ses possessions précieuses. Et Lou Stoppard (également pas écossaise, également super nana) sur la nostalgie des gants perdus. (Aucune idée de ce que cela a à voir avec l’Écosse.)
Oh, et nous avons traqué Nessie (plus écossais que Billy Connolly lisant Rabbie Burns au bord d’un loch pendant que Mel Gibson applique de la peinture faciale à un cerf des Highlands) et nous avons des images exclusives pour le prouver.
Plus 22 pages de personnes nues dans un champ en Écosse portant des chapeaux, des écharpes et des gants. Parce qu’il fait froid là-haut, tu sais ? Il y a aussi du contenu pour les anglophones ! Y compris une histoire d’un jeune écrivain sur une jeune fille qui se réveille un matin pour découvrir que tout ce qu’un Écossais a jamais inventé a disparu du jour au lendemain. Ce qui inclurait ce magazine. Et sur ce, dans un nuage de fumée, nous voilà partis !
Avec amour, PAPERBOY